C'est une manière d'accueillir M. le secrétaire d'État, puisque j'avais initialement défendu cet amendement devant Mme Borne.
À l'instar de mes deux collègues, je rappellerai que la mobilité est un sujet particulièrement délicat dans ces territoires ; franchir un col ou enjamber des gorges est à la fois plus compliqué et plus coûteux. La question de l'accès à ces massifs et des difficultés que peuvent rencontrer celles et ceux qui ont choisi d'y habiter mérite qu'une telle spécificité soit inscrite dans le texte de loi.