Sereinement, posément, la seule chose que nous disons, c'est que certains territoires attendent depuis longtemps des infrastructures dignes de ce nom, et que des critères objectifs incitent à leur prêter attention. Le Cantal dispose d'une seule route nationale comprenant certaines portions sinueuses sur lesquelles la vitesse est limitée à 30 kilomètres-heure. Il n'y a que M. Barbe pour la qualifier de « belle route » ! Et vous connaissez, monsieur le secrétaire d'État, l'état des lignes ferroviaires qui nous permettent de rejoindre Brive puis Limoges. Ces territoires sont donc en droit d'imaginer qu'ils puissent être un jour prioritaires, sans demander de faveur particulière.