Peut-être serai-je légèrement hors sujet, mais j'irai presque dans votre sens, monsieur Descoeur : au-delà du télétravail, et sans doute devrions-nous mener cette réflexion collectivement, c'est davantage le décalage des horaires dans la journée, c'est-à-dire la possibilité de commencer la journée de travail plus tard ou plus tôt, qui facilitera l'organisation des mobilités. Aujourd'hui, pour prendre le seul exemple de la région francilienne, passé le rush de six heures, neuf heures ou dix heures, il n'y a plus beaucoup de monde dans les transports en commun – en tout cas dans ceux qui vont de la grande couronne vers Paris car, dans Paris intra-muros, la fréquentation reste toujours forte.