Il fait écho à ce que j'ai dit tout à l'heure : vous reportez finalement le problème sur les collectivités, et cet enseignement devient facultatif, puisqu'il peut avoir lieu dans le temps scolaire, le périscolaire ou l'extra-scolaire.
Or, malheureusement, tous les enfants de France ne participent pas à des activités périscolaires ni extra-scolaires. Donc, finalement, on part d'une grande ambition pour arriver à de belles intentions qui ne seront pas appliquées concrètement sur le terrain. Et, malheureusement, cette loi sur les mobilités ne garantira pas un réel enseignement du vélo pour tous nos enfants.