De plus en plus, deux mondes se dessinent, créant de la souffrance, du désespoir et de la colère chaque jour qui passe. Vous ne travaillez que pour le premier monde, celui de l'argent, le monde d'en haut. Vous ignorez, vous méprisez le deuxième monde : les abandonnés ; ceux qui triment, qui luttent chaque jour pour se nourrir, payer leurs factures, assurer l'éducation des enfants ; ceux, qui, simplement, essaient de vivre ou de survivre ; le monde d'en bas ; le monde des gens qui ne sont rien ; cette France abandonnée.
Il y a la France d'en haut, vos amis, et la France d'en bas, les autres, une France de plus en plus poussée par votre politique au sous-sol de l'échelle sociale. Pauvres de nous qui ne sommes rien à vos yeux !