Pour masquer ces coups bas, vous parlez d'augmentation du pouvoir d'achat et de jours meilleurs en matière d'emploi. Nous ne sommes pas dupes : cela ne viendra pas sous votre règne, car votre méthode pour reconstruire une nouvelle France est mauvaise. Au motif de réformer, vous enlevez l'échelle avant d'avoir construit l'escalier ; vous injectez du poison, celui du malheur social, avec la promesse que vous allez trouver l'antidote. C'est manifestement de la tromperie, de l'abus de faiblesse.