Nous ne sommes pas d'accord. Tous les ports ne sont pas prêts à mettre en oeuvre cette transition. Nous proposons de mettre entre les mains du préfet un outil de régulation, non d'adopter une mesure d'interdiction. Aujourd'hui, aucun port n'a la possibilité de connecter au réseau électrique l'ensemble des bateaux de croisière. Si nous appliquons vos mesures, nous n'en tirerons de bénéfices que dans trois, quatre ou cinq ans.