M. le secrétaire d'État, au mois de juillet dernier, vous déclariez dans la presse que vous étiez prêt à engager, sinon une nationalisation des autoroutes, du moins un la mise en place d'un système permettant de recourir à un emprunt sur les bénéfices futurs issus du retour de ces autoroutes dans le giron public – je ne me souviens pas de vos propos exacts mais vous voyez à quoi je fais référence. Avez-vous changé d'avis au cours de l'été, à la suite peut-être d'un coup de chaud, ou est-ce moi qui ai mal compris la position qui était la vôtre en juillet ?