Merci, monsieur le président, je serai brève.
J'ai bien entendu vos arguments, monsieur le secrétaire d'État, mais je rappelle que la ville de Béziers comporte trois quartiers prioritaires de la politique de la ville. Pour eux, l'État joue le jeu : le problème n'est donc pas là, car l'argent ne suffit pas. Le développement de ces quartiers est un tout : il faut y installer des filières d'enseignement supérieur et y créer de l'activité économique. Dans ces conditions, la nouvelle ligne Montpellier-Béziers-Perpignan est évidemment essentielle ; c'est pourquoi j'y insiste tant.
On n'y arrivera pas si l'on ne conjugue pas tous les efforts pour sauver ces quartiers qui, malgré tous les moyens mobilisés, sont encore à l'abandon.