Nous avons eu ce débat ce matin. J'évoquerai deux points.
D'une part, en matière de grandes infrastructures de transport, les choix opérés hiérarchisent le territoire, et ont des conséquences en matière de rayonnement, de qualité de vie et d'aménités. D'autre part, le secteur des transports est structurant en matière macro-économique, notamment au regard de sa force d'entraînement et de son influence sur la croissance économique.
Aussi faut-il lui donner des moyens, notamment par le biais de l'AFITF. Ces amendements, que nous soutenons, présentent l'avantage de soulever ces questions.