Cet amendement, signé par de nombreux députés élus dans des circonscriptions frontalières, vise à clarifier les possibilités laissées aux opérateurs de transport pour l'exercice des missions de sûreté.
Il s'agit ici d'offrir à ces opérateurs le choix de faire appel à leurs services internes de sûreté, lorsqu'ils existent, ou encore de faire appel à une entreprise de sécurité privée.
L'objectif de cet amendement est ainsi de clarifier la possibilité pour les opérateurs de transport de recourir à ce type de services privés pour effectuer les missions de sûreté sur les réseaux qu'ils exploitent.