Le projet fait l'objet d'une démarche « grand chantier », en étroite collaboration entre l'État, la région Hauts-de-France et les collectivités, afin de maximiser les retombées économiques. D'un point de vue environnemental, les premières mesures de compensation ont déjà commencé. En ce qui concerne la conduite du chantier, des clauses environnementales sont prévues dans les marchés de façon à inciter au report modal.
Je pourrais développer davantage les arguments en faveur du canal Seine-Nord Europe, mais cela a déjà été fait en première lecture. J'insisterai surtout sur un dernier point : ce projet est soutenu et financé par l'Union européenne.