Je tiens à remercier les différents intervenants pour ces échanges. Vous comprendrez que j'émette un avis défavorable à cet amendement, et ce pour une raison simple. Comme l'a rappelé M. Mélenchon, c'est en 2007 qu'a été votée l'ouverture à la concurrence du réseau parisien. Nous, parlementaires de 2019, ne pouvons être tenus pour responsables d'une décision prise en 2007.
Cela étant, nous pouvons faire en sorte que cette ouverture se déroule dans les meilleures conditions possibles pour cette belle entreprise française qu'est la RATP, dont le personnel dévoué accomplit son travail avec beaucoup de motivation et de passion. La suppression de cet article empêcherait la RATP de répondre aux appels d'offres, c'est-à-dire de continuer à exercer son métier.