On est donc poussé à prendre l'avion qui, lui, ne se permet pas ce genre de plaisanterie : un fuseau sur un trajet aérien est surveillé beaucoup plus étroitement. Par conséquent, il faut donner au service public les moyens de fonctionner correctement, car le désorganiser ne mène nulle part.
Monsieur Pancher, vous avez dit tout à l'heure vous méfier des idéologies.