Il suit la même logique que le no 483.
Au nom de dispositifs techniques très compliqués et sous prétexte d'améliorer le trafic, cet article et le précédent concèdent aux sociétés autoroutières des portions entières du réseau secondaire. C'est un prétexte : en réalité, l'entretien de ces routes coûte cher à l'État, si bien que vous souhaitez les transférer aux sociétés autoroutières ! Nous ne sommes pas favorables au fait de confier l'entretien des routes à des entreprises privées : on connaît les désastres qu'un tel transfert peut occasionner !