Ce marché prospère sur le terreau de la misère humaine. Il ne s'agit pas tant de pauvreté que du fait qu'une minorité de jeunes – car c'est souvent de jeunes qu'il s'agit – ne trouve pas d'espoir dans ce pays et est contrainte de se tourner vers ce secteur.
Pour lutter contre ce fléau, nous devons marcher sur deux pieds. Le premier – que ce Gouvernement a incarné – est celui de la lutte contre les inégalités du destin : dédoublement de classes, argent dédié dans les territoires à la formation professionnelle, lutte contre la pauvreté.