C'est notamment le cas en Nouvelle-Calédonie, où le niveau de vie est un peu plus élevé qu'en métropole, raison pour laquelle de nombreux Calédoniens dépassent les plafonds d'éligibilité. Une réalité qui se traduit par les chiffres suivants : alors que 38 % des étudiants français sont boursiers, la Nouvelle-Calédonie n'en compte que 27 %, soit deux fois moins qu'à la Martinique et trois fois moins qu'à Mayotte.