Le Conseil constitutionnel a validé la disposition que vous contestez. Le président doit simplement respecter les exigences de clarté et de sincérité du débat parlementaire ; il me semble que, depuis quinze jours, depuis nos auditions, chacun a pu poser des questions, a pu s'exprimer. C'est bien dans ce souci que je ne souhaite pas appliquer l'article 100, alinéa 5, en permettant à cinq d'entre vous d'exprimer la position défendue par votre groupe et non un seul orateur, comme le prévoit le règlement.