Je crois qu'une lourde tâche nous attend, puisque nous avons près de 2 200 amendements à étudier. Tout comme vous, nous souhaitons un débat apaisé et serein. Je propose que dès lors que nous sommes en présence d'amendements identiques et que les députés ont des arguments complémentaires à faire valoir, ils puissent s'exprimer, de telle sorte que personne ne soit privé de cette liberté d'amener, en responsabilité, des arguments complémentaires. En procédant ainsi, nous gagnerons du temps en évitant un débat interminable sur les temps de parole.