Je veux rappeler que la maltraitance n'est pas réservée aux hétérosexuels : elle s'élève à 30 % chez les femmes. En outre, s'agissant de la GPA dont nous parlons, si tout le monde est opposé à la marchandisation, il est fort possible que l'on fasse état de la GPA éthique : dans ce cas, il n'y aura pas de marchandisation.
Enfin, l'article 1er de ce projet de loi est à bien des égards paradoxal, qu'il s'agisse de la parité – ce qui prouve le besoin d'altérité – ou des femmes seules. Or nous savons tous qu'il faut les aider financièrement et bâtir une politique d'aide à la famille.