Mes chers collègues, que vous ayez besoin d'exprimer votre indéfectible soutien à Mme Buzyn ne pose pas problème. Reste que les mots ont un sens. Et je nous invite collectivement à les peser et les soupeser afin que nos débats se déroulent dans le même état d'esprit que celui qui prévaut depuis maintenant trois semaines.