C'est ce que je fais, madame la présidente. Vous ne précisez pas ce qui fait la « qualité » de l'embryon et je considère, pour ma part, que l'introduction de cette notion de « qualité » est la reconnaissance potentielle d'une pratique sélective. Or qui dit pratique sélective, dit eugénisme. C'est un problème de fond et nous devrons débattre de cette rédaction en séance publique, si nous ne le faisons pas ici. Je suis étonné, madame la ministre, que le Gouvernement puisse parler de la « qualité » de l'embryon, car cela pose une question de fond. En attendant, mon amendement n° 202 est défendu.