Afin d'éviter, dans la mesure du possible, une procédure d'assistance médicale à la procréation vouée à l'échec, des tests de dépistage des maladies infectieuses sont nécessaires.
Une liste de ces tests devrait être établie en tenant compte de l'avis d'experts, et également pouvoir être modifiée en fonction de l'évolution des connaissances médicales.
C'est pourquoi l'amendement n° 1952 vise à préciser qu'un décret en Conseil d'État établit la liste de ces tests après avis de l'Agence de la biomédecine.