Je voudrais rappeler la définition de la santé qui est notamment promue par l'OMS : elle a différentes composantes qui sont de nature psychologique, physique mais aussi sociale. Je ne pense pas qu'il soit discriminant de mettre en évidence un déterminant dont on sait qu'il entre en jeu, notamment en ce qui concerne les femmes seules. C'est une question qui se pose. Il me semble que cette dimension doit apparaître dans l'accompagnement et « l'évaluation » – je mets des guillemets en employant ce terme.