Je comprends votre point de vue et le souhait que vous exprimez. Faut-il proposer systématiquement un suivi psychologique ou bien laisser celui-ci à l'initiative de l'équipe médicale et psychologique qui entoure le processus ? Du reste, le suivi en question devra être assuré par l'équipe elle-même : on ne saurait le concevoir comme totalement distinct de l'équipe qui réalise l'AMP. Je ne suis pas sûr que la disposition que vous proposez ajouterait autre chose qu'une contrainte. D'ailleurs, la pratique que vous préconisez est déjà très habituelle. En outre, elle sera encouragée par l'amendement de Mme Martine Wonner que nous avons adopté tout à l'heure.