L'amendement n° 221 est identique. À propos de la prise en charge, madame la ministre, nous ne nous comprenons pas.
Je pense que vous devez quand même rencontrer des associations de malades ou des familles… Prenez, par exemple, l'état de la psychiatrie en France aujourd'hui. Là, il y a vraiment un problème de prise en charge. Le suivi des enfants qui sont atteints de troubles du spectre autistique constitue, lui aussi, un vrai sujet. Vouloir dire que tout va bien, en déclarant : « Je ne peux pas vous laisser dire, monsieur le député », c'est ignorer la réalité. Il y a un moment où vous ne pouvez plus simplement balayer d'un revers de main les problèmes qui se posent dans le cadre de votre portefeuille ministériel.
Car cette question se pose, nos concitoyens nous la posent lorsque nous sommes en circonscription. Je vous assure que je ne peux pas alors l'esquiver, comme vous êtes en train de le faire, parce que nos concitoyens nous rappellent immédiatement à nos responsabilités.