Il faut leur demander de voyager, d'être itinérants !
Plus sérieusement, le nombre de dix provient d'une analyse statistique qui rend le risque équivalent à celui existant dans la population générale. Quant à la répartition géographique des gamètes, c'est une bonne suggestion. Échanger de temps en temps des échantillons pourrait faire partie des bonnes pratiques des CECOS. Les groupes de travail peuvent y réfléchir, mais cela ne mérite pas d'être inscrit dans la loi. Le nombre de dix enfants n'expose pas aujourd'hui à un risque supérieur.