Moi aussi, je suis évidemment contre cet amendement. Comme l'ont rappelé mes collègues, nous exprimons, dans un texte de loi, une vision de notre société. Jusqu'à présent, les lois de bioéthique ont toujours témoigné d'une attention particulière à ces questions. Ne favorisons pas la dérive qui conduirait à traiter ce qui relève de l'humain comme on traite des choses. Ce ne serait pas à la hauteur de l'éthique, qui doit prévaloir en la matière.