Ce premier argument est problématique : l'extension de la PMA ne relève pas non plus de la bioéthique, puisque c'est un sujet sociétal…
Cela étant, l'amendement prévoit bien d'inscrire ces sanctions dans le code pénal. Si la garde des Sceaux était présente, nous pourrions lui rappeler que, selon un rapport du Sénat paru il y a quelques mois, la moitié des amendes pénales ne sont pas recouvrées. Cela pose problème : le Parlement vote des sanctions et la justice prend des décisions, qui ne sont pas exécutées par la suite.