L'évolution programmée du réseau des centres territoriaux devrait se traduire, pour la seule région Auvergne, par la disparition du quart de ses emplois et la fermeture de cinq sites, dont l'antenne aurillacoise. C'est un projet qui se traduirait par la fin d'une expertise de proximité et l'éloignement d'interlocuteurs précieux dans un contexte où la vigilance, la mission de prévision et de prévention d'épisodes climatiques de plus en plus violents et l'appui aux interlocuteurs locaux, sécurité civile ou agriculteurs sont affichés comme des priorités.
Si vous accédez à la présidence de Météo-France, reconsidérerez-vous ce projet en prenant en considération la situation particulière de certaines stations, notamment celle d'Aurillac ?