Dans le Nord, la Flandre et le Pévèle sont fortement touchés par la sécheresse depuis plusieurs années. Pourtant, dix-neuf villages de Flandre ont vu leurs demandes de reconnaissance d'état de catastrophe naturelle à nouveau refusées. Cette décision demeure incompréhensible, d'autant plus qu'un des villages a été reconnu, lui, en état de catastrophe naturelle, au motif que son territoire repose sur une maille géographique différente mais dans laquelle il n'y a aucune habitation. Personne ne répond à nos questions quant à l'emplacement des relevés pluviométriques ni aux méthodes utilisées.
Pouvez-vous nous garantir davantage de transparence sur les méthodes et le rôle de Météo-France dans les reconnaissances de catastrophe naturelle ?
Comment l'opérateur peut-il accompagner les territoires à la fois face à ces événements climatiques mais aussi dans le nécessaire changement à venir ?