Madame la ministre, le bilan de la Sécurité sociale, dont vous héritez et à l'égard duquel vous n'avez, assurément, aucune responsabilité, n'est pas flatteur. Vous avez toutefois la possibilité de réaliser une rupture. Je regrette tout d'abord, comme le précédent orateur, les mensonges sur la bonne situation de la Sécurité sociale, qui ont émaillé la dernière année du mandat.