On peut regretter que seules deux ou trois douzaines d'enfants soient interrogées dans chacune, alors qu'on aurait pu en espérer des milliers. Mais, en France, de telles études n'existent pas : plutôt que de critiquer celles qui existent, il serait préférable de reconnaître qu'il est nécessaire que nous en réalisions à l'avenir. C'est la raison pour laquelle le projet de loi précise ultérieurement la façon dont nous suivrons la mise en place de ces mesures par des études appropriées. La réponse existe et, sur cette question, nous n'avons donc plus de doute. En revanche, nous en conservons au sujet d'autres aspects du projet de loi…