Vous, vous êtes dans la logique du droit à l'enfant. Mais, si l'on peut avoir droit à une chose, à des moyens où à je ne sais quoi encore, il n'y a pas de droit à l'enfant. Nous aurions pu nous rassembler pour défendre les intérêts de l'enfant. Aux intérêts de l'enfant, vous avez préféré le droit à l'enfant.
Troisième victime : le père. Il est évacué. La loi prive l'enfant de père. Pourtant, l'enfant est né d'une rencontre entre un homme et une femme, d'une union résultant de l'attirance, du désir, bien souvent de l'amour, et il est ainsi le résultat d'une rencontre entre deux êtres égaux et différents, différents et égaux, deux êtres de sexe différent. Je préfère le mot « sexe » au mot « genre », car le premier est objectif alors que le second est subjectif.