Je terminerai en rappelant la fin du poème de Victor Hugo que Bernard Perrut a déjà cité – vous me pardonnerez cette référence non laïque :
« Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur, l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants ! »