Ma collègue Aurore Bergé a souligné qu'il existait plusieurs légitimités, et je l'en remercie. Elle a aussi précisé que certes, cette loi ne visait pas à dire ce qui est bien et ce qui est mal, mais qu'il s'agissait d'une loi de bioéthique. Or ce terme contient la notion d'éthique, ce qui signifie que nous sommes là pour discuter des limites que nous souhaitons fixer, sans que cela revienne à dire que les uns ont raison et les autres tort. Mais cela nous oblige à prendre des positions, à mon avis en fonction de nos convictions.