Je pense que ce n'est ni mieux ni moins bien pour une femme seule, mais dans un cas comme dans l'autre, nous n'avons aucune certitude. Ce gouvernement met souvent en avant la science lorsqu'il prend une décision. En l'occurrence, la plupart des études des neuropsychiatres indiquent que des difficultés peuvent survenir. Je pense qu'il est bon d'en tenir compte. Par ailleurs, on nous dit que les exemples étrangers ne comptent pas. J'ai déjà entendu cet argument dans la bouche du Premier ministre à propos de l'audiovisuel public, donc j'y suis habituée. Pendant toute la soirée, nous avons pourtant entendu des députés de la majorité dire que c'était parce que des pays étrangers avaient autorisé la PMA que nous étions obligés de le faire. On ne peut pas dire tout et son contraire !