Comme le précédent, cet amendement propose un délai de réflexion de douze à trente-six mois après le décès, à condition qu'un projet parental ait été construit dans le couple. Cette question a été débattue durant les auditions et l'examen du texte en commission. Un tel délai permettrait à la mère d'éviter les pressions et de faire le travail de deuil, sachant que ce dernier est très variable d'une personne à l'autre.