Il est indispensable que nous acceptions que la mort soit la fin. C'est ce qui fait notre condition humaine, quelle que soit la douleur éprouvée quand la mort marque la fin d'une histoire et de la capacité à procréer.
Vous l'aurez compris, mes chers collègues, je ne voterai pas ces amendements. Il faut laisser le temps au deuil et former l'espoir que la vie réservera aux femmes endeuillées d'autres promesses, d'autres occasions, d'autres histoires d'amour et d'autres projets parentaux, différents du projet initial et cette fois-ci entièrement tournés vers la vie.