Je comprends ce que vous dites. Néanmoins, il existe aujourd'hui d'autres méthodes de suivi – anonyme, il est vrai – qui permettent de bien connaître les risques encourus et les pathologies susceptibles d'apparaître plusieurs années après, mais surtout de comparer les personnes ayant eu recours à l'AMP à des groupes témoin. Les études, menées par l'Agence de la biomédecine, sont de bonne qualité.