Notre collègue Charles de Courson y a fait référence : les Allemands ont une pratique très stricte en ce domaine, et on observe que cela fonctionne. L'argument selon lequel l'interdiction de concevoir des embryons surnuméraires créerait de nouveaux problèmes n'est donc pas valide.
Le choix de l'Allemagne est sans doute lié à son histoire très douloureuse, mais je regrette que nous n'essayions pas d'être plus parcimonieux dans le recours aux embryons, lorsqu'il n'est pas nécessaire. Un embryon est tout de même le début d'une vie.