Mes chers collègues, je me souviens d'un candidat à la présidence de la République qui expliquait, avant son élection, qu'étant étudiant, il ne gagnait que 1 000 euros par mois et connaissait une forme de précarité. Aujourd'hui, on nous explique qu'avec 1 200 euros de retraite, on est aisé et on peut supporter une hausse de la CSG.