Monsieur le Premier ministre, hier lundi, vous avez fait le déplacement à Rouen. Humant l'air, vous avez admis des odeurs très dérangeantes, très pénibles mais pas nocives. C'est votre parole, et à elle seule elle rassure la France, d'autant que vous avez promis « la transparence absolue. »
Cette transparence absolue, pouvez-vous la faire dès maintenant ? Pouvez-vous nous dire très simplement quels sont les produits qui ont brûlé dans l'incendie de l'usine Lubrizol ?