En 2021, la France présidera l'Union européenne. J'ambitionne de faire figurer à notre agenda le sujet du sport sous l'angle des conditions d'attribution des GESI – grands événements sportifs internationaux – afin de nouer enfin le dialogue avec les fédérations internationales et les autres gouvernements européens, tout en respectant leur autonomie et leur neutralité.
Une autre solution serait de conférer, en parallèle, une plus grande responsabilité aux sportifs. Nous allons nous engager dans cette voie grâce à un futur projet de loi qui tendra à renforcer la place des sportifs dans la gouvernance des fédérations nationales et, je l'espère, internationales.
Néanmoins je me permets, monsieur le député, de vous rappeler l'universalité du sport. Elle doit devenir une réalité, mais pas à n'importe quel prix.