De plus, tous les couples n'ont pas vocation à se séparer ! Cela n'a rien d'évident. Vous nous dites que c'est le cas d'un couple sur deux, madame la ministre. Mais, dans l'intérêt de la société, nous ne pouvons pas partir du postulat que tous les couples se sépareront. Ce serait présager un bien triste avenir aux couples qui se forment aujourd'hui et qui ont l'espérance de durer le plus longtemps possible.
Madame la ministre, madame la rapporteure, en écartant ce vrai sujet, vous prenez le risque de fracturer davantage les familles d'ici une vingtaine d'années.