Nous venons de passer, en ce 3 octobre, une grande matinée sur l'amitié franco-allemande et sur les projets que nos deux pays entendent mener ensemble.
Je pense, monsieur Peu, que vous faisiez référence au traité de l'Élysée plutôt qu'au traité de Versailles car rien, dans votre intervention, ne pouvait se rapporter à ce dernier, signé au début du XXe siècle.