Je souhaite revenir à l'essentiel de ce qui nous préoccupe, c'est-à-dire aux personnes qui sont au centre de ce débat et qui, en ce moment, nous regardent et nous écoutent. Ces personnes, dont la situation est modeste, ont entendu qu'une partie de cette assemblée se préoccupe de leur vie quotidienne, de leurs difficultés.
Notre collègue du MODEM cherche une cohérence entre le PLF et le PLFSS mais, en l'occurrence, nous ne parlons pas des mêmes personnes. D'un côté, on parle des plus riches d'entre les Français mais d'un autre côté, maintenant, ce soir, avec ces amendements, nous parlons des plus modestes. Nous qui sommes de ce côté-ci de l'hémicycle voulons faire en sorte que nos aînés puissent vivre au quotidien dans la dignité.