Il sera similaire à celui du rapporteur. Je compléterai simplement les propos de celui-ci en rappelant un élément de sécurisation supplémentaire déjà évoqué mercredi dernier, lors d'un débat similaire que vous avez eu à propos du registre des donneurs et de l'utilisation des serveurs de l'Agence de la biomédecine : un arrêté d'application relatif au système national des données de santé, le SNDS, prévoit que ces données ne peuvent être hébergées que par des opérateurs établis dans un pays qualifié de « sûr » par la CNIL. D'où ma demande de retrait, sinon de rejet, de cet amendement.