Cette réaffirmation profondément républicaine implique la renégociation, ou, en cas d'impossibilité, la dénonciation, de certaines stipulations de droit international qui nous empêchent, aujourd'hui, d'arrêter l'immigration de masse.
J'ai déjà dit, à cette tribune, les graves difficultés que pose la Convention européenne des droits de l'homme. Je veux mentionner aussi l'accord franco-algérien de 1968. J'ai également à l'esprit le pacte de Marrakech.