La conclusion est évidente : l'urgence est à recentrer notre politique de l'asile dans un cadre européen harmonisé. Je plaide pour que soit établie, entre pays européens, entre démocraties européennes de plein exercice, une reconnaissance mutuelle des décisions prises sur l'asile. Ainsi sera évité le réexamen des dossiers déjà traités par un partenaire européen.